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Les performances du Festival de la Placette

2 et 3 octobre 2021

Programme du dimanche 03 octobre 2021 

Atelier performance de 10h à 11h30: Le corps social avec Christophe Jaccard, danseur chorégraphe. Gratuit / atelier ouvert aux comédiens (amateurs et pros), étudiants, adolescents à partir de 15 ans. Nombre de places : 8, réservation au 06 12 09 78 53 ou sylvaine.louradour@gmail.com - L’art en Contre - 4 rue Nantilde

Atelier art Action de 10h à 11h30 (intervention dans l’espace public, sur la Placette). Création de Pascale Ciapp du 025rjj de Loupian. Gratuit : tout public, sans limitation de nombre de participants, réservation recommandée au 06 10 02 97 23  pascale.ciapp@gmail.com

Art Action et performance de 14h  à 17h

L’art en Contre - 4 rue Nantilde

1. Performance « Si rien ne se passe, ce sera toujours quelque chose.. » de Pascale Ciapp du 25rjj de Loupian    

2. Performance « Quelque chose se passe (encore)» de Jean-Claude Gagnieux.    

3. Performance « Exilée Asilée» de ElisabetteZelaya / ambiance sonore Sylvaine Louradour

4. Performance de Hope Mockded « Action Frontières »

5. Performance Danse « White Cinders » de 16h à 16h40 – au Vaisseau 3008 - 9 rue Hôtel Dieu - avec Julie Hahn danseuse chorégraphe de la Baejjahn Dance Company, et Christope Jaccard danseur chorégraphe, sur un décor minimal de Bernhard Hahn. Bande sonore en direct avec Bernard Garilli (percus) Christophe Lebrun-Damien (guitare) Sylvaine Louradour (basse) Entrée libre

Précisions  de Pascale Ciapp

Pneumatique du nombril - 3 oct.. 2021 (extraits)

Pascale Ciapp | Durée : 20 min.

en résonance impromptue avec l'intervention de Jean-claude Gagnieux-maoudj

merci Thomas Andro pour les bribes de captations

Précisions sur White Cinders

Performance (programmée au Vaisseau 3008)

de Julie Hahn et Christophe Jaccard

COMPAGNIE BAEJJAHN - White Cinders

"Ce projet de théâtre physique est une adaptation du texte de Stéphane Lambert, Le garçon sans yeux (2010). Après la découverte d'une photographie d’un jeune vietnamien sans yeux, l'auteur livre ses impressions personnelles et intimes. Sur scène, deux présences débutent un dialogue entre le texte et le mouvement. Un « androïde » provoque le sentiment d’être démuni et crée une distance qui prend la forme d’un vide, d’un flottement au-dessus d’un abîme. L’image se dresse tel un mur et évoque la Guerre du Vietnam, toile de fond de ce texte. Ce sujet n’est pas une affaire classée de l’Histoire : un procès est en cours au Tribunal d’Évry en France suite aux plaintes de Tran To Nga contre 14 multinationales agrochimiques. Dans l’adaptation, le ton mêle le sérieux, le ludique et la légèreté en passant par des moments sacrés, tels l’émerveillement et la réconciliation. "

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